Biopax voit tout, entend tout. Si l’on n’est pas heureux, mieux vaut faire semblant de l’être. La machine à voyager le temps a été inventée en 1956. Mais nul n’en a rien su et n’en saura rien. Suite à une maladresse, il dérive en spatiandre dans l’espace – le même accident fatal que son grand-père. En ce lointain futur, retrouver des écrits du XXe siècle non encore numérisés est en soi un événement. Quand on rejoint l’au-delà, que reste-t-il du temps et de l’espace ? Cinq courtes nouvelles servies comme apéritif. |